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Votre stratégie de succès? S'éloigner ou se rapprocher de quelque chose?
Ce sujet comporte 18 réponses et a été vu 1716 fois.
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richardj7
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, , inscrit le 18-05-05
L’imagination est plus importante que le savoir. Einstein
jeudi 27 janvier 2011
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En début d'année, plusieurs personnes prennent des résolutions pour accomplir des objectifs qui semblent importants pour eux dans le domaine de la santé (faire de l'exercice, perdre du poids, etc), domaine financier (négocier un meilleur salaire, changer d'emploi, faire plus d'argent comme travailleur autonome, créer un plan de retraite, etc.), domaine intellectuel (apprendre quelque chose de nouveau, obtenir un diplôme, etc.) domaine personnel ou familial (rencontrer l'âme soeur, fonder une famille, voyager, etc.).

Comme coach je sais que la majorité des résolutions survivent rarement dans le mois qu'elles ont été prises. Les recherches démontrent que les moteurs de motivation sont les croyances et les valeurs. Quand on croit assez fortement en quelque chose, qu'on le valorise assez, on augmente les chances d'un comportement adéquat pour vivre cette croyance.

Les comportements - vos activités quotidiennes - déterminent les résultats que vous obtenez à court, moyen et long terme. Le comble de la folie, d'année en année, c'est de croire qu'en faisant toujours les mêmes choses que les résultats vont être différents.

Certaines personnes sont motivées en « s'éloignant des problèmes ou conséquences » qui les rendent inconfortables ou qui leur font peur. C'est la stratégie d'éviter quelque chose qui pourrait être très négatif.

Exemple, une personne pourrait décider d'arrêter de fumer à cause qu'elle croit de plus en plus que la cigarette prédispose au cancer. Une personne qui pourrait décider de perdre du poids aurait la croyance que l'obésité puisse causer le diabète, les problèmes cardio-vasculaires, l'inconfort physique d'être gros et hors forme, l'éloignement ou le rejet du sexe opposé, les vêtements serrés, etc.

Le problème avec cette stratégie, c'est que l'esprit est inondé d'images négatives comme moyen de motivation. C'est risqué, car éventuellement ces peurs peuvent devenir sans effet. On finit par diminuer l'impact de la peur et les habitudes reviennent au galop. Le meilleur exemple de ça, c'est malgré que les études sont là pour prouver les effets négatifs de la cigarette ou l'obésité, les gens ne sont pas assez motivés pour faire quelque chose.

D'autres personnes sont motivées par« se rapprocher de la solution et des conséquences positives ». Dans les deux cas, il est question de visualisation et de dialogues internes qui entretiennent la motivation.

Dans « s'éloigner de », c'est souvent la peur qui motive; pas trop bon pour la santé d'avoir constamment peur. Dans « se rapprocher de », c'est d'avoir une image du résultat final en tête qui motive. C'est la stratégie d'adopter quelque chose. Il y a des gens qui réussissent des deux façons. La première fonctionne sur un stress constant - ramer contre-courant et se fier sur la volonté - l'autre coule selon la direction du courant de la rivière et requiert beaucoup moins d'effort et pratiquement aucune volonté, sauf peut-être au début, ce qui se résume à faire un choix du but et non pas des moyens.

Cette première stratégie est un des « traits de motivation ». Elle fait partie d'un ensemble d'autres traits qui conditionnent le succès d'une personne. Celle-ci indique la « direction ». Les autres sont:


  • L'envergure: spécifique ou général

  • Attention direction: soi, autres

  • Réaction au stress: sentiments, choix, pensées

  • Style: indépendant, proximité, coopération

  • Organisation: les personnes, les choses

  • Structure des règles: les miennes, les tiennes

  • Canaux de conviction: voir, entendre, lire, faire

  • Mode de conviction: nombre d'exemples, automatique, consitant, durée

  • Le niveau: proactif ou réactif
  • )
  • La source
  • (interne ou externe)
  • La raison
  • (options ou procédures)
  • Les facteurs de décision
  • (même, même avec exception, différence, même avec exception et différence)

En connaissant ses propres traits de motivation, il est possible de déceler si vous agissez d'une façon optimale pour réaliser vos objectifs plus rapidement. Il existe des questions pour déterminer ces traits pour en devenir conscient et ainsi modifier vos croyances et valeurs qui vont motiver vos comportements.

Ces questions sont très personnalisées et dépendent d'une réponse à l'autre que vous pourriez faire. Elles s'ajustent selon vos réponses, c'est pourquoi je ne peux pas les poser d'une façon générale, ici. Quand vous serez prêts à mettre toutes les chances de votre côté pour réussir vos objectifs ou vos projets, contactez-moi.

[COLOR="#2e8b57"]QUESTION[/COLOR]: Quelle est VOTRE stratégie pour réaliser vos objectifs?

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richardj7
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, , inscrit le 18-05-05
L’imagination est plus importante que le savoir. Einstein
jeudi 27 janvier 2011
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Vous pouvez faire des choix multiples, aussi autant que ce soit logique.

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richardj7
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, , inscrit le 18-05-05
L’imagination est plus importante que le savoir. Einstein
vendredi 28 janvier 2011
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Le succès d'une personne peut ou pas se mesurer de fa��on objective. La satisfaction personnelle est souvent difficile à chiffrer ou à expliquer. Quelqu'un qui a l'impression de tout avoir dans sa vie peut décider que de fixer des objectifs ne lui apportera pas plus. Il y a des exceptions dans tout. Comment peut-on mesurer le bonheur? C'est assez subjectif.

Le domaine qui est probablement le plus facile à mesurer, c'est le domaine financier. Certains recherchent l'indépendance financière qui leur permettra de faire ce qu'ils veulent, quand ils veulent, le nombre de fois qu'ils veulent et avec qui ils veulent.

Il y a de nombreuses années, une université américaine, Yale, je crois a fait de nombreux sondages auprès de ses gradués pour connaître leur statut social. Comme dans toutes universités, certains étaient issus de familles très à l'aise, d'autres de la classe moyenne et d'autres qui avaient fait de gros sacrifices financiers, obtention de bourses et prêts pour avoir eu la chance d'obtenir un diplôme universitaire. L'université voulait connaître l'impact d'avoir eu cette éducation de haut niveau. On s'est vite aperçu que la méthode de mesure la plus simple était du côté financier. Mais, on a voulu aussi trouver la cause sur un des critères importants, soit l'existence d'objectifs avant les études et après les études.

Bref, la distribution des résultats donna:


  • 28% des répondants avaient besoin d'aide financière de parents, amis ou gouvernement pour survivre.

  • 60% réussissaient à vivre plus ou moins bien avec un profil de dettes bien ancré

  • 10% étaient riches, pouvant se permettre du luxe, envoyer leurs enfants dans les meilleures écoles, beaucoup de voyages, propriétés, etc.

  • 2% étaient très riches et leurs avoirs pourraient facilement survivre plus d'une génération

Chose étonnante, on pouvait retrouver dans chaque catégorie, des personnes qui venaient des différentes couches de la société. Ainsi, certaines personnes qui avaient eu la chance de se trouver dans une famille aisée se retrouvaient aussi sans le sou, tout comme certaines personnes issues de famille pauvre se retrouvaient dans le top 12%.

À la question, « Aviez-vous des objectifs de vie avant de venir à l'université et avez-vous continué à fixer des objectifs après vos études? » donna les résultats suivants:


  • Dans la catégorie des 28% - la majorité des gens n'avaient pas de buts ou d'objectifs spécifiques.

  • Dans la catégorie des 60% - la majorité des gens avaient des buts à court terme, soit la planification du weekend, des vacances d'été, de l'achat de biens matériels, prises de rendez-vous
  • (dentiste, médecin, voiture).
  • Dans la catégorie 12% - la majorité des gens avaient des objectifs bien précis dans la tête et les réalisaient.

  • Dans la catégorie 2% - la majorité des gens avaient des objectifs bien précis et
  • écrits avec plan d'action des activités et une révision constante de leur progrés; un peu comme un athlète ou autres sports de compétition où l'on garde des mesures exactes des performances pour les améliorer de serait-ce que de quelques centièmes de secondes.

La seule différence qui avait été notée entre les 12% et 2% était le fait que le 2% écrivait et comparait leurs progrès fréquemment et faisaient des ajustements rapides.

Comme consultant, formateur et coach d'entreprise, j'ai des clients qui ont un système de la gestion de la performance qui est bien géré et on s'aperçoit tout de suite sur place de l'ambiance que cela crée (quand c'est bien fait) et surtout des résultats que ça donne. Dans un monde où l'économie est un défi et les pertes d'emplois une norme, je me pose la question pourquoi pas plus d'entreprises n'ont pas un système pour les maintenir dans la concurrence. Même question pour les individus.

Au niveau personnel, c'est la même chose. Pourquoi les gens ne le font pas?

1) Ils ne savent pas que ça existe
2) Ils ne savent pas comment faire
3) Ils ne savent pas que ça fonctionne
4) Ils se fient à leur bonne étoile - souvent à la pensée magique pour obtenir ce qu'ils veulent ou veulent devenir
5) Ils ont une opinion négative envers les objectifs et sont réfractaires à toute forme de contrôle, même si ce sont eux-mêmes qui dictent le type de contrôle
6) Ils se disent que quoi qu’ils fassent, s'ils doivent l'avoir, ils vont l'avoir, sinon, ils ne l'auront pas et il n'y a rien qu'ils puissent faire pour changer les choses
7) Puis, bien sûr, les excuses traditionnelles: trop jeune, trop vieux, pas le temps, pas d'argent, pas assez instruit, pas de chance, puis les phrases qui commencent avec «...pour réussir il faut... »

Lors de ma conférence à Cancún le 9 janvier dernier, le clip vidéo suivant a été montré à l'équipe de vente:
http://www.youtube.com/watch?v=obdd31Q9PqA

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R2P2
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Membre régulier , , inscrit le 19-01-10
www.photorichardpaquette.com Il est toujours temps de prendre le temps de ...
vendredi 28 janvier 2011
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Merci Richard
C'est vraiement la réalité de ce que nous vivons tous.
Il n'en tient qu'a nous d'aller de l'avant.
Tes interventions sont toujours un gros plus pour notre forum.

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richardj7
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, , inscrit le 18-05-05
L’imagination est plus importante que le savoir. Einstein
vendredi 28 janvier 2011
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Bienvenue R2P2...:)

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Mortagne
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, 35 ans, , habite à Verdun, inscrit le 21-02-08
Mortagne - www.mortagne.info
Celui qui ne fait pas plaisir en arrivant fait plaisir en partant! (Proverbe Breton)

Equipement

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Canon EOS 5D Mark III
lundi 31 janvier 2011
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Souvent ce que je trouve difficile dans la création d'objectifs "personnel" c'est le niveau quantifiable.

Par exemple,
dans la parte de poids, cela est facile de se donner un objectif, je veux perdre 20 livres une livre par semaine etc...
remboursement de dette, facile de voir le total diminuer ;)
mettre de l'argent de côté pour faire l'achat d'un ci ou d'un ca ...

mais si on est dans le cas d'un aspect plus "artistique" ... exemple augmenter mon niveau en photographie ... c'est moins évident ...
etc... je ne suis pas certain si c'est claire, mais j'arrive pas à trouver un bon exemple pour ...

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richardj7
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, , inscrit le 18-05-05
L’imagination est plus importante que le savoir. Einstein
lundi 31 janvier 2011
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Tu as tout à fait raison. Il y a un côté subjectif - évaluation personnelle de bien-être ou de compétence qui n'est pas toujours mesurable. Puis, le côté objectif qui l'est par une mesure spécifique qui est commune à tout le monde.

Il y a des exemples mesurables pour le niveau en photographie. Dans le cas d'une compétence technique, il est relativement facile de mesurer si on est capable d'utiliser les outils de Lightroom ou Photoshop pour opérer des ajustements (masquer les cheveux contre un changement d'arrière-plan, créer un bon HDR, retoucher le visage pour ça a l'air naturel, etc.).

En prise de photos, connaître à fond son équipement au niveau de l'exposition, balance des blancs, etc. autant en lumière naturelle, artificielle et mixte et pouvoir le prouver est assez facile.

Au niveau des compétences pour poser les individus, couples et groupes: il existe des livres ou DVD, ainsi qu'une multitude de magazines spécialisés qui permettent de comparer.

Savoir photographier un mariage du début à la fin pour satisfaire les clients et même augmenter les ventes au-delà du budget initial: ça se mesure. Même chose pour toutes les sortes de mandats photographiques.

L'objectif peut être simple:
« D'ici le 15 août, j'aurai photographié mon premier mariage payant. »
« D'ici le 15 mai, j'aurai su comment photographier les bébés (enfants, famille, modèle, etc.) à la satisfaction du client. »

Le plan d'action supposera des activités ou miniobjectifs qui comprendront peut-être de lire un livre, écouter un DVD, suivre un atelier et pratiquer beaucoup pour réaliser l'objectif.

Si on met un objectif du type: « D'ici le 15 juillet, j'aurai développé mon oeil artistique », c'est évident que la méthode de mesure est plus difficile si pas impossible à moins de mettre les photos en compétition et gagner pour voir si d'autres partage le même avis. Dans ce cas-là, je mettrais plutôt un objectif de gagner une compétition quelconque qui, par rebond, indiquerait une reconnaissance sur l'évolution du talent artistique. Bien sûr, le degré de crédibilité envers cette compétition dépendrait de son sérieux et sa validité. Un exemple de barème, c'est les reconnaissances offertes par la CMPQ - c'est une reconnaissance d'autres photographes. Eu égard les jeux politiques et cliques qui peuvent exister dans tout organisme, il y a quand même la possibilité de se comparer à d'autres photographes de talent et obtenir des reconnaissances.

J'ai souvent eu des clients en coaching individuel ou corporatif qui ne savaient pas par où commencer pour se fixer des objectifs. Un exemple, courant, c'est « Je ne sais pas ce que je veux réellement. » Pour ces gens-là, le premier objectif, c'est quoi?...:)

Autre note, ce n'est pas tout le monde qui aime avoir des objectifs précis avec un plan d'action qui leur colle au cul tous les jours. Il y a une autre approche qui peut fonctionner pour certaines personnes qui sont plus intuitives et qui savent discerner et choisir les activités qui mènent vers la réalisation d'un objectif, sans perdre de temps. Cette discipline est légèrement différente de l'autre (objectif/plan d'action), mais tout aussi importante.

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Mortagne
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lundi 31 janvier 2011
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richardj7 a dit

Autre note, ce n'est pas tout le monde qui aime avoir des objectifs précis avec un plan d'action qui leur colle au cul tous les jours. Il y a une autre approche qui peut fonctionner pour certaines personnes qui sont plus intuitives et qui savent discerner et choisir les activités qui mènent vers la réalisation d'un objectif, sans perdre de temps. Cette discipline est légèrement différente de l'autre (objectif/plan d'action), mais tout aussi importante.


peux-tu élaborer un peu sur cette autre méthode ?

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richardj7
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L’imagination est plus importante que le savoir. Einstein
lundi 31 janvier 2011
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  1. Qu'est-ce que je veux?

  2. Si je l'avais, est-ce que je le prendrais?

  3. Je décide formellement de l'avoir!

  4. [/LIST]

    ou
    [LIST=1]

  5. Qui suis-je?

  6. Comment est-ce que je me sens d'être une telle personne?

  7. Je choisis formellement de l'être!

Dans les deux cas, il faut une congruence - entre dire ce que l'on veut ou veut être et le langage non verbal, verbal et para verbal - observable par une personne entraînée pour le voir et l'entendre - comme un coach formé pour ça - pour que ça fonctionne. Le moindre doute torpille l'effort.

Quand la décision est formelle d'avoir ou d'être - après c'est une question de rester ouvert aux occasions et personnes qui vont se présenter en chemin et prendre LA décision qui se rapproche de la réalisation de l'objectif. Si tu prends une série de mauvais choix volontairement, tu perds de la congruence ou de crédibilité avec toi-même et ainsi, tu n'accomplis pas ton objectif.

Comme j'ai dit, ce n'est pas pour tout le monde d'utiliser cette deuxième méthode. Pour débuter, je recommande la première, si ce n'est de développer la discipline nécessaire pour accomplir les différentes étapes.

La deuxième méthode est plus encline à la pensée magique, la pensée positive sans action quand c'est la pensée optimale qui doit régnée.

La deuxième méthode est très dépendante des valeurs et croyances pour opérer fluidement. Au départ de la 2e méthode, il faut vraiment y croire. Tandis que dans la première méthode, la croyance se bâtit à mesure de petites réalisations.

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sabistar
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Membre régulier , , inscrit le 21-02-08
jeudi 03 février 2011
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Ma stratégie à moi? Disons que mon but est de faire de la photographie studio, d'animaux et/ou de maitres avec leurs animaux..

Bien premièrement je réalise que cet objectif est inatégnable sans matériel. Alors depuis quelques années j'achète par parties, mon matériel. Je pense que je suis assez bien équipée maintenant.

Deuxièmement je sais que je dois connaitre mon matériel et être familière avec. Je fais des tests studio, j'invite des amis, j'assiste à des ateliers, etc.

J'ai engagé mon amie comme infographe, et j'ai maintenant des cartes d'affaires dont je suis fière et que je peux distribuées.. ce que je trouve nettement plus professionnel qu'un numéro noté sur un papier! haha.

J'ai bâtit mon site internet.

À partir d'ici je dois faire de la pub, être plus sure de moi, etc, etc... Et pour ça, j'ai de la misère à déceler quel trait de motivation me représente.

Parcontre des objectifs, ça je connais! Je me fais souvent (toujours) des listes de trucs que je veux accomplir, apprendre.. Disons: pour le 8 mars prochain, j'aurai distribuer 500 pamphelts publicitaires et donné 1000 cartes d'affaires à des gens ou des entreprises. Pour moi, c'est le genre d'objectif que j'aime fixer. Ce peut aussi être:
"Aujourd'hui j'aborde une personne qui a un chien et je lui parle de mon projet" parce que moi, personnellement, je suis timide et je n'ai pas confiance en moi, alors ce genre d'objectif est difficile pour moi, et à force de le faire plus souvent je vais devenir meilleure.. et c'est essentiel d'être confiant lorsque l'on veut se vendre!!

Reste plus qu'à me connaitre un peu mieux.. ça je sais que je dois travailler là-dessus :)